Interview

R1 – F. Dubois (Blagnac FC) : “Le club est en mode survie”

Lors de ce 6e tour de Coupe de France, Onet le Château (N3) recevait le FC Blagnac (R1) ce samedi 15 octobre. Onet a ouvert le score par l’intermédiaire de Julien BRUNET à la 20e minute, avant de concéder l’égalisation quelques minutes plus tard par Annis AOULADCHAIB. Julien BRUNET signe un doublé et redonne l’avantage à son équipe à l’heure de jeu. Suite à cette défaite 2-1, nous avons pu poser quelques questions au coach de cette équipe blagnacaise, Fabrice Dubois.

Qu’avez-vous pensé de votre équipe sur cette rencontre ?

“C’est un match joué avec une grosse intensité sur une pelouse de qualité. Je pense que les 2 équipes étaient proches et tout s’est joué sur des détails,  notamment l’efficacité dans les 2 surfaces. Nous avons des regrets sur le scénario, pas sur notre performance et nos efforts. Mon équipe a su élever son niveau de jeu pour être à la hauteur de l’événement , nous avons fait un match plein et nous avons tout donné. Je n’ai rien à reprocher à mes joueurs.”

Que retenez-vous de ce parcours de Coupe de France ?

“C’est un parcours correct même si j’avais l’ambition d’aller beaucoup plus loin. On voulait vraiment s’offrir une aventure sur cette Coupe de France car c’est chaque année un générateur d’émotions et les souvenirs se créent au fil des tours. Je suis amoureux de cette compétition et je rêve toujours d’un 32eme de finale, car 3 éliminations au 8e tour et 2 au 7e… Et cette année c’est au 6e qu’on tombe face à une N3 à l’extérieur.”

Quels sont les objectifs sur cette fin de saison ?

“On va retrouver le quotidien du championnat dès ce samedi à Tarbes, dans un contexte très complexe, à cause de la situation du club. Depuis la prise de fonction de la nouvelle équipe dirigeante, il y a une campagne de dénigrement orchestrée par des anciens dans le but de faire du mal au club. Devant les obstacles, soit tu fuis, soit tu te bats. Le club est en mode survie clairement. Il y a un dicton qui dit que les jaloux essaient de détruire ce qu’ils sont incapables de construire… C’est exactement ce qu’il se passe à Blagnac aujourd’hui.”

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